29 juillet 2015
Quitter le pays des Grandes Eaux
Ovipare est la nuit Je l'habite au cristal de ton front. Qu'importe la boue dans l'oeil Et ces ailes de sel J'attends-je crois Comme l'oiseau Qui lit demain Que tu sautes à mots-silence Sur le vieux plancher du coeur. Nous sommes De si lointains enfants...